Premier jour, et c'est pas l'ouverture officielle

Première journée harassante, et encore, il paraît que c’était la plus soft… Il est minuit, et je tombe de fatigue !

Mais je pense à vous, et je vous fais un petit résumé :

Après une petite présentation de la journée, nous commençons les ateliers thématiques, au nombre de 4 :

• Rain forest
• carbon-trading
• ryo, kyoto, bali… How to process ?
• indigenous people

Je vous fais pas la traduction, hein, ça ira ?

Personnellement, j’étais à l’atelier carbon-trading, soit le marché carbone. On est tous d’accord pour dire que c’est l’arnaque, une bonne excuse pour les entreprise de continuer à polluer tout en utilisant des outils capitalistes de domination envers les pays les plus pauvres.

Bon, ça, c’est dit

Par ailleurs, nous avons parlé du carbon offset, ces entreprises qui financent des projets pour diminuer les émissions de CO2
grâce à l’argent donné par les personnes qui prennent l’avion.

À mon sens, c’est un peu pareil que la marché carbone, mais pour les individus et pas pour les entreprises, mais bon, il y a des convaincus…

Après le déjeuner, nous recommençons avec une heure de retard (forcément), et du coup nous devons diminuer le temps des ateliers méthodologiques (déjà réduits de 2 à 1h pour laisser le temps au comité de coordination de faire notre réunion) à 3/4 d’heure.

Je fais un atelier sur les logiciels libres, avec peu de participant-e-s, mais tous en sont enchantés, et j’en suis pas peu fière

Du coup, je vais mettre sur le site des liens vers la FSF, des distributions linux et les logiciels libres les plus utilisés (open office, firefox, drupal et spip, etc.).

Evidemment, les ateliers durent plus longtemps que prévus, et nous n’avons qu’une demi-heure pour nous parler (et je vous passe les détails).

Finalement, nous finissons par une présentation de tous les ateliers du matin, puis nous rentrons à l’hotel sous la pluie battante. Un peu comme en Bretagne, mais en chaud

Ensuite, après nous être séché (quand même), le steering committee a le privilège de continuer sa réunion tout en mangeant.

Et c’est la que la journée se finit, à presque minuit, à écrire ce petit compte-rendu.

Entre temps, j’ai encore croisé Catherine qui décidemment est débordée, mais vraiment, genre moi, à coté, c’est la vie peinard (j’ai quand même eu le temps de dormir…). Du coup, j’accepte de l’aider à traduire des documents en français qu’elle doit m’envoyer (peut-être et sans doute au dernier moment).

Bon, quelques photos et dodo, mais je vous préviens, au bout de 3 photos, j’avais plus de piles…